« Un homme vint chez le prophète (que la paix soit sur lui), et lui demanda :
- "Ô messager d’Allah, quelle est la personne qui mérite le plus ma bonne compagnie ?"
- " Ta mère"
- " Ensuite, qui ? ”
- " Ta mère "
- " Ensuite, qui ? "
- " Ta mère "
- " Ensuite, qui ? "
- " Ton père " »
Ibn Al-Hassan At-Tamîmy a voulu tuer un scorpion, mais il pénétra dans un trou. Il y introduisit ses doigts à sa suite puis le scorpion le piqua. On lui demanda le pourquoi de son geste, il répondit : « J’ai craint qu’il ressorte et qu’il pique ma mère. »
- "Ô messager d’Allah, quelle est la personne qui mérite le plus ma bonne compagnie ?"
- " Ta mère"
- " Ensuite, qui ? ”
- " Ta mère "
- " Ensuite, qui ? "
- " Ta mère "
- " Ensuite, qui ? "
- " Ton père " »
Ibn Al-Hassan At-Tamîmy a voulu tuer un scorpion, mais il pénétra dans un trou. Il y introduisit ses doigts à sa suite puis le scorpion le piqua. On lui demanda le pourquoi de son geste, il répondit : « J’ai craint qu’il ressorte et qu’il pique ma mère. »
Ta mère, si tu savais, détient sur toi un droit éternel !
Tout ce que tu as fait pour elle est peu de chose en parallèle.
Combien de nuits s’est-elle plainte sous le faix de la grossesse !
Sa souffrance fit jaillir lamentations et cris de détresse.
Tu ne peux t’imaginer l’accouchement dans la douleur,
Accablée d’atroces tiraillements qui lui arrachent le cœur !
Elle t’a si souvent purifiée de ses propres mains,
Cette mère dont le giron t’offrit un repos serein.
Elle sacrifiait tout pour toi lorsque tu te lamentais,
Et en son sein une boisson pure dont tu te nourrissais.
Combien s’est-elle affamée par compassion et tendresse
T’offrant son pain quotidien pendant ta prime jeunesse.
Tu l’as perdu lorsque par ignorance tu as mal agi,
Tu as trouvé le temps long, mais si courte est la vie !
Misère à celui qui possède toute sa raison et suit son bon vouloir,
Dont le cœur est aveugle et ses yeux ne le privent pas de voir !
Prends garde et convoite ses nombreuses prières,
Car ses invocations te sont plus que nécessaires…
Tout ce que tu as fait pour elle est peu de chose en parallèle.
Combien de nuits s’est-elle plainte sous le faix de la grossesse !
Sa souffrance fit jaillir lamentations et cris de détresse.
Tu ne peux t’imaginer l’accouchement dans la douleur,
Accablée d’atroces tiraillements qui lui arrachent le cœur !
Elle t’a si souvent purifiée de ses propres mains,
Cette mère dont le giron t’offrit un repos serein.
Elle sacrifiait tout pour toi lorsque tu te lamentais,
Et en son sein une boisson pure dont tu te nourrissais.
Combien s’est-elle affamée par compassion et tendresse
T’offrant son pain quotidien pendant ta prime jeunesse.
Tu l’as perdu lorsque par ignorance tu as mal agi,
Tu as trouvé le temps long, mais si courte est la vie !
Misère à celui qui possède toute sa raison et suit son bon vouloir,
Dont le cœur est aveugle et ses yeux ne le privent pas de voir !
Prends garde et convoite ses nombreuses prières,
Car ses invocations te sont plus que nécessaires…
Qu’Allah fasse que l’on soit bon avec nos parents.
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